<html><div style='background-color:'><P><BR><BR></P>
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<P><BR><BR></P><BR><BR><BR>>From: "Trottier Danick" <danick.trottier@umontreal.ca><BR>>Reply-To: cercledemusicologie@groupesyahoo.ca<BR>>To: <cercledemusicologie@groupesyahoo.ca><BR>>Subject: [cercledemusicologie] OFF Festival - Mutek - Petite-Vallée - Afrique<BR>>Date: Sat, 4 Jun 2005 08:22:01 -0400<BR>><BR>><BR>>Programmation - L'OFF Festival de jazz de Montréal: géographie éclectique<BR>><BR>><BR>><BR>><BR>>Bernard Lamarche<BR>>Édition du jeudi 2 juin 2005 (Le Devoir)<BR>><BR>>Mots clés : Montréal, Musique, Festival et fête, jazz, off festival<BR>><BR>>Vitrine sur le jazz local, la sixième édition du OFF Festival de jazz se fera particulièrement éclectique sur le plan de la géographie, des échanges et des rencontres entre musiciens d'ici et du Nouveau-Brunswick, de l'Alberta, de l'Ontario, de la France, des États-Unis 
et de la Suède. Du 24 juin au 3 juillet, plus de 150 musiciens seront de la virée.<BR>><BR>>Si la programmation est truffée de concerts avec des musiciens que l'on connaît ou fréquente tout au long de l'année, de nouveaux contextes donnés à ces musiciens pour travailler sont à découvrir avec cette programmation. Le batteur Michel Lambert croisera le fer musical avec le contrebassiste John Geggie (Ontario), dans une rencontre, le 27 juin, vouée à l'improvisation. La veille, le guitariste Greg Amirault jouera avec le trompettiste Roland Bourgeois, du Nouveau-Brunswick. Il en va de même avec le croisement Marianne Trudel (piano), Philippe Lauzier (saxophones et clarinette basse), du Québec, avec les Français Nils Ostendorf (trompette) et Toma Gouband (batterie). À quatre, ils tenteront de faire honneur à la relève musicale.<BR>><BR>>Autrement, le vétéran de la scène locale Dave 
Turner donnera un concert le 25 juin au Lion d'Or, toujours fidèle au OFF Festival. Avec ses explorations latines, le Dave Turner Quintet malaxera des influences de groove et de soul. Ce concert est planifié tout juste avant la sortie d'un nouveau disque. Aussi, on aura le plaisir de revoir le Normand Guilbeault Ensemble se mesurer à Charles Mingus, celui qui n'avait pas peur de bousculer les institutions. Avec Mathieu Bélanger, Ivanhoe Jolicoeur, Pierre Tanguay et Jean Derome, cette formation d'étoiles continue de roder ce spectacle de haute voltige (le 29 juin, au Lion d'Or).<BR>><BR>>Les fameux 5 à 7 jazz du Quai des brumes sont de retour cette année. On y verra entre autres le Frank Lozano Quintet, avec un programme fait de compositions, de standards inusités et d'improvisation. Par ailleurs, une nouvelle salle est ajoutée pour cette édition. L'O Patro Vys offrira neuf concerts 
à 21h30. Autre nouveauté, le OFF Festival travaille cette année de concert avec Espace Musique, à titre de diffuseur officiel. Les détails de la programmation se retrouvent sur le site www.lofffestivaldejazz.com.<BR>><BR>>* * * * *<BR>><BR>><BR>>Musique électronique - À l'aventure avec Mutek<BR>><BR>><BR>><BR>><BR>>Bernard Lamarche<BR>>Édition du samedi 28 et du dimanche 29 mai 2005 (Le Devoir)<BR>><BR>>Mots clés : Québec (province), mutek, musique électronique<BR>><BR>>À rebrousse-poil, Mutek se prépare à affronter ce monde si cruel sans réellement avoir de grosse locomotive à l'avant de son train, lui qui quittera la gare, pour sa sixième vie, du 1er au 5 juin prochain. L'événement préfère se passer de grosses vedettes de la musique électronique en s'adressant plutôt à une faculté que plusieurs festivals plus importants ont tendance à 
éviter, celle de la curiosité. Après les Monolake, Ricardo Villalobos et Luciano (sous le nom de Sense Club), Pheek, Skoltz_Kolgen et Steve Beaupré de Crackhaus, plusieurs artistes, tout près de 160, se succèdent, la plupart des inconnus. Mutek se charge de les faire connaître.<BR>><BR>>La direction artistique de Mutek, Alain Mongeau en tête, a révisé l'an dernier ses positions après ce que Mongeau appelle un premier «cycle» de cinq ans. Il a été décidé alors de revenir à ce qui fait la raison d'être de Mutek, soit un parti pris pour la recherche et les artistes encore à faire connaître au grand public. Lors de son premier cycle, Mutek a réussi à soutenir des artistes aujourd'hui reconnus, comme Skoltz_Kolgen et Egg, des artistes aujourd'hui matures, qui ont lancé chacun des albums sur l'étiquette Mutek_REC, aujourd'hui distribuée dans 25 pays. Par ailleurs, Mutek semble avoir eu 
raison de privilégier la découverte, comme en témoigne sa nomination, cette année, au Grand Prix du Conseil des arts de Montréal, un honneur décerné pour ce goût de l'aventure que recherche Mutek.<BR>><BR>>Alain Mongeau dirige l'événement (avec Éric Mattson) depuis ses balbutiements pré-Mutek, alors qu'il s'inscrivait dans le volet Media Lounge du Festival des nouveaux médias et du nouveau cinéma (FCMM). Ce dernier a donc vu grandir l'événement. «On avait deux options. Soit on devenait plus gros, avec des têtes d'affiche comme Plastikman l'an dernier, soit on se repositionnait autour de l'essence de ce qu'on pense représenter, ici et ailleurs.» La deuxième avenue a été privilégiée.<BR>><BR>><BR>><BR>>Prendre des risques<BR>><BR>><BR>><BR>><BR>><BR>>Mutek a toujours pris en considération les artistes de la scène locale tout en visant son inscription 
dans des réseaux internationaux. Les deux pans sont encore défendus cette année. Une édition récurrente du festival aura lieu au Mexique après une récente expérience plus que concluante, une tournée en Chine s'est déroulée au début du printemps. «On veut positionner le festival Mutek à Montréal comme l'espèce de lorgnette à partir de laquelle on peut regarder le futur. Je ne parle pas de prévoir des tendances. On veut prendre des risques.»<BR>><BR>><BR>><BR>>Ce réseautage, Mutek le met à profit cette année. Il reçoit son premier artiste chinois, et la scène latino-américaine est à l'honneur, même si le voyage que propose l'événement passera par les scènes électroniques de l'Allemagne, de la France, de l'Angleterre et de l'Italie. «On a voulu refléter ce travail au festival cette année.» Plus de 160 artistes passeront par Montréal lors de l'événement.<BR>><BR>>Le 
programme Expérience 3 propose, le 4 juin, de faire la connaissance de cinq artistes et formations issus de l'Amérique latine, avec Mendoza de Tijuana, Danieto, Emisor et d'autres. «En Argentine, par exemple, la scène électronique existe depuis plus de quinze ans et c'est énorme. Au Mexique, ça l'est moins, mais il y a des scènes importantes, comme à Tijuana. Là, on connaît le collectif Nortec, qui a fait sa marque en blendant des sonorités mexicaines à la sauce électronique. Là, la scène est exploratoire, loin du commercial.» Cette option ressemble à Mutek, et l'idée de faire entrer des micro-scènes en résonance plaît à Mongeau et à ses acolytes. Mutek_REC s'apprête à lancer un disque d'artistes chiliens.<BR>><BR>>Une autre section importante, cette année, est signée Éric Mattson. Le Placard propose un marathon de trois jours où une soixantaine d'artistes se succéderont en 
continu. Dans la salle, le concert en continu sera perceptible par des casques d'écoute et sera aussi accessible sur Internet. Ce «festival dans le festival», qui existe en France depuis 1999 sous une forme nomade, est la pointe exploratoire de l'événement. «L'idée est de diffuser la musique dans un contexte où les voisins ne sont pas dérangés. De plus, le public va pouvoir le suivre à travers le monde via Internet.» Mongeau voit dans cet isolement dans les écouteurs un antidote au manque d'écoute dans les concerts en salle. Que les bavards se le tiennent pour dit. Ce volet renforce le côté laboratoire de l'événement et comprend une large majorité d'artistes locaux.<BR>><BR>>Pour Mongeau, le festival de cette année continue sur la lancée Mutek, «poussée une coche plus loin. Mutek a deux pôles, plus expérimental ou plus rythmé». Nouveauté de cette année, la Nocturne 3, au Musée 
Juste pour rire, se présente comme un programme double qui reflète ces deux axes (le vendredi 3 juin).<BR>><BR>>Autre attraction, l'après-midi du 5 juin, Mutek se croise avec les Piknik Électronik, sur la place de l'Homme du parc Jean-Drapeau, en plein air, avec Serafin, Steve Beaupré, Pier Bucci et des surprises. Ce faisant, Mutek confirme ses acquis, mais prend aussi le large.<BR>><BR>>* * * * *<BR>><BR>><BR>>Le Festival en chanson de Petite-Vallée présente ses candidats<BR>><BR>><BR>><BR>><BR>>PC<BR>>Édition du mardi 31 mai 2005 (Le Devoir)<BR>><BR>>Mots clés : Québec (province), Festival et fête, Musique, petite-vallée<BR>><BR>>Les participants en vue de la prochaine édition du Festival en chanson de Petite-Vallée, en Gaspésie, ont été sélectionnés.<BR>><BR>>Cette année, les organisateurs considèrent comme gagnants tous les 
participants qui ont franchi toutes les étapes de sélection. Une bourse sera remise à chacun des candidats.<BR>><BR>>Les auteurs-compositeurs-interprètes choisis sont Ian Murchison, de Montréal, Jean-Pierre Lezada-Côté, de Gatineau, Philémon Bergeron-Langlois, de Québec, Nathalie Maillard, de Saint-Jérôme, et Kevin Thompson, de Montréal.<BR>><BR>>Pour les interprètes, on a retenu Marie-Josée Cyr, de Carleton, Maranda Colin, de Montréal, Gaële, originaire de Lyon en France, Marie-Marine Lévesque, de Longueuil, et le duo Catessim, de Bonaventure.<BR>><BR>>Chez les paroliers, le jury a choisi Michel Dufresne, de Québec, Sophia Borovchyk, de Saint-Lambert, et Daniel Beaumont, de Montréal.<BR>><BR>>Pour les compositeurs, on a retenu Martin Ferron, de Verdun, Jean-Marie Benoit, de Caraquet au Nouveau-Brunswick, et Philippe Vallier, de Montréal.<BR>><BR>>Les 
festivaliers ont rendez-vous à Petite-Vallée du 25 juin au 2 juillet.<BR>><BR>><BR>><BR>>Au cours du festival, le parrain Jim Corcoran y présentera son spectacle Pages blanches. Une soirée Hommage à Jim Corcoran est également prévue. Elle réunira Pierre Flynn, Edgar Bori, René Flageole, Alexandre Belliard, Yann Perreault, Marie-Pierre Fournier, Louis-Jean Cormier du groupe Karkwa, aux côtés de chanteurs de la région qui revisiteront le riche répertoire de Corcoran.<BR>><BR>><BR>><BR>><BR>><BR>>Le festival se terminera avec les finales du concours.<BR>><BR>>* * * * *<BR>><BR>><BR>><BR>>En bref: Le rock se mobilise à nouveau pour l'Afrique<BR>><BR>><BR>><BR>><BR>>AP<BR>>Édition du lundi 30 mai 2005 (Le Devoir)<BR>><BR>>Mots clés : Afrique (Région), Musique, Aide à l'étranger, live 8<BR>><BR>>Philadelphie -- Vingt 
ans après «Live Aid», alors que les stars du rock s'étaient mobilisées à Londres et à Philadelphie afin de venir en aide à l'Éthiopie en proie à la famine, le chanteur et militant Bob Geldof organise un autre grand événement humanitaire.<BR>><BR>>«Live 8» aura lieu le samedi 2 juillet, deux concerts étant à nouveau prévus dans la capitale britannique et la métropole de l'État de Pennsylvanie, a affirmé la publiciste Laura Perez, porte-parole de l'hôtel de ville de Philadelphie. Le nom «Live 8» se veut un clin d'oeil au sommet du G 8 -- groupe réunissant les sept pays les plus industrialisés au monde, parmi lesquels le Canada, en plus de la Russie -- devant débuter quelques jours plus tard en Écosse. Bob Geldof a pressé les nations les plus riches de la planète de faire davantage pour lutter contre la famine et la pauvreté en 
Afrique.<BR>><BR>><BR>><BR>><BR>><BR>><BR>><BR>><BR>><BR></DIV></DIV></div><br clear=all><hr>Chegou o que faltava: MSN Acesso Grátis <a href="http://g.msn.com/8HMABRBR/2740??PS=47575" target="_top">Instale Já!</a> </html>